P'tit Déj' du 14 novembre
"Optimiser la rédaction de son mémoire: thèse ou rapport"
Jeudi 14 Novembre 2013 de 8h30 à 10h30 - Resto Universitaire du Triolet

 OBJECTIFS DU P'TIT DÉJ' :

• Définir les notions d'objectifs et de carte mentale dans la rédaction d'une thèse
  
• Organiser sa rédaction de thèse
• Identifier les bonnes pratiques de la rédaction d'une thèse

 Ce P'tit Déj' abordera les différentes étapes de la rédaction d'une thèse: 

• Organisation et formulation des objectifs
• Organiser ses idées (concept de carte mentale)
• Le plan (par enchaînement, dichotomique et dialectique)
• La rédaction.

 Seront ensuite détaillées les différentes parties du mémoire, les intitulés et la présentation des références bibliographiques.
 Une information sera donnée sur les notions de plagiat.

 L'intervenent sera Sébastien Balme, maitre de conférences à l'Institut Européen des Membranes, Université Montpellier 2.

 Inscription obligatoire. Nombre de places limité !   Pour vous inscrire au P'tit Déj'

retour au sommaire

Avant-programme de l'Accueil & Rencontre Doctorants 2013

                 11 décembre 2013 à 14h - Amphi Charles Flahaut, Institut de Botanique

 L'objectif de l'Accueil & Rencontre des Doctorants (ARD), co-organisé par l'association Contact et le Collège doctoral, est de fournir aux doctorants les informations essentielles au bon déroulement de leur thèse et à la construction de leur avenir professionnel.
 Cet événement rassemble chaque année de très nombreux doctorants de tous les établissements d'enseignement supérieur de l'Académie de Montpellier car l'ARD, c'est pour les doctorants la possibilité de mieux découvrir les diverses structures qui participent à la formation des doctorants et leurs missions.

 Au programme : des présentations sur les principaux aspects de la formation doctorale et des témoignages de jeunes chercheurs.

Très bientôt le programme détaillé de l'Accueil & Rencontre des Doctorants et rendez-vous le 11 décembre !

retour au sommaire

Assos de jeunes chercheurs à Montpellier

Association CBS²

 Depuis sa création il y a 11 ans, l'association CBS² rassemble les doctorants de l'Ecole Doctorale 168 CBS² : Sciences Chimiques et Biologiques pour la Santé.

 Elle est gérée par un groupe de bénévoles, dont un bureau restreint, qui sont des doctorants comme les autres et n'hésitent pas à faire appel aux bonnes volontés parmi leurs condisciples. 

 Cette association a plusieurs vocations qui peuvent être regroupées en deux pôles :
• d'une part, favoriser les rencontres entre doctorants, que ce soit dans un cadre professionnel (via les journées scientifiques de l'Ecole Doctorale CBS², organisées par l'association, et l'organisation d'autres événements en partenariat avec d'autres associations de doctorants), ou dans un cadre plus détendu (à travers différentes soirées et événements sportifs organisés tout au long de l'année)
• d'autre part, assurer une communication entre les doctorants et les différentes institutions auxquelles ils peuvent être confrontés. Cette fonction inclut notamment des réunions organisées avec la direction de l'école doctorale CBS² pour faire remonter les demandes des doctorants, voire pour permettre une discussion directe entre les doctorants confrontés à des problèmes et l'école doctorale. Elle assure aussi un rôle de représentation au sein de différentes instances administratives (Conseils Scientifiques de l'UM1 et de l'UM2, Collège Doctoral, CTE Biologie-Santé de l'UM2...).

 L'association CBS² tient à impliquer au maximum les étudiants de son école doctorale et elle a ainsi récemment organisé deux concours pour les nouveaux logos de l'association et de l'école doctorale, logos créés et choisis par les doctorants.
 Elle a également coordonné la participation de ses adhérents au Village des Sciences basé à Genopolys pour la fête de la Science 2013.
 De façon générale, cette association est gérée par et pour les doctorants de l'école doctorale CBS² et reste ouverte à toute suggestion et proposition de partenariat pour l'organisation d'événement qui vous tiennent à cœur !

 Pour nous rejoindre et être informé de nos activités, contactez-nous : assocbs2@gmail.com

  Visitez notre page Facebook    Voir le site des dernières Journées CBS²

Tania Louis & Vuthy Ea

Club des Jeunes de la SCF Languedoc-Roussillon

 La Société Chimique de France (SCF) est une société savante rassemblant les chimistes français.
 Elle a un bureau à l’échelle régionale, secondé par un « Club des Jeunes », qui rassemble les jeunes chimistes de la région déterminés à participer aux missions de la SCF.

 Au niveau local, ces missions sont de :
• rassembler les chimistes au sein d’un même réseau,
• promouvoir la chimie sous toutes ses formes et dans toutes ses thématiques
• favoriser les échanges scientifiques entre chimistes, notamment sous la forme de congrès.

 Ainsi, les Clubs des Jeunes de la SCF Languedoc-Roussillon et PACA se sont associés cette année dans l’organisation des 1^ères Journées Méditerranéennes des Jeunes Chercheurs, congrès ayant rassemblé plus de 200 personnes sur deux jours.

 En ce début d’année universitaire, le Club des Jeunes de la SCF Languedoc-Roussillon recrute...

  Si vous êtes intéressé pour prendre part à ses activités, contactez :
Claire Cuyamendous (claire.cuyamendous@univ-montp1.fr), actuelle présidente du Club des Jeunes,
ou Camille Oger (camille.oger@univ-montp1.fr), actuelle présidente de la SCF Languedoc-Roussillon.

Aurélien de La Torre

Journées Méditerranéennes des Jeunes Chercheurs

  Il est assez rare que des doctorants participent à l’organisation d’un congrès. Il est encore plus rare qu’un congrès soit organisé uniquement par des doctorants. C’est ce qui s’est passé les 17 et 18 octobre derniers à l’Ecole Nationale Supérieure de Chimie de Montpellier (ENSCM), où se sont tenues les premières « Journées Méditerranéennes des Jeunes Chercheurs ». 

 Co-organisées par les doctorants des clubs des jeunes de la Société Chimique de France (SCF) en Languedoc-Roussillon et PACA, les représentants doctorants au conseil de l’Ecole Doctorale de Sciences Chimiques Antoine Balard (ED 459) et les membres de l’Association Montpelliéraine des Doctorants en Chimie (AMDoC), ces journées ont rassemblé plus de 200 acteurs de la chimie de tous niveaux (doctorants, post-docs, chercheurs…), de tous les milieux (académique comme industriel) et représentant toutes les thématiques.

 Cette manifestation inédite a donné lieu à plusieurs communications orales de doctorants, une session poster, ainsi que 3 conférences plénières de chercheurs de renommée internationale et 3 conférences industrielles.
 Au cours de la dernière demi-journée, l’assistance, et notamment les doctorants, a pu prendre part à une discussion sous forme de table ronde avec des docteurs en chimie travaillant dans l’industrie. Il a ainsi pu s’établir un dialogue direct et plus personnel entre les industriels, qui ont pu faire partager leur expérience, et les doctorants, qui ont pu poser des questions sur l’insertion professionnelle des docteurs dans les entreprises.

 Ces journées se sont conclues sur les remises des prix de thèse de la fondation Balard aux Drs. Yann Thillier et Pierre Agulhon, ainsi que du prix de thèse de la SCF Languedoc-Roussillon au Dr. Eric Gayon. Enfin, des prix ont également été remis à l’issue des journées à la meilleure communication orale et aux deux meilleurs posters.

 Cet évènement ayant été un succès sur tous les plans, aussi bien la participation que le niveau scientifique, il devrait être reconduit sous une forme similaire l’année prochaine en PACA.

Aurélien de La Torre

retour au sommaire

 Le doctorat est l’apprentissage de la recherche par la recherche… mais pas nécessairement pour la recherche. La polyvalence des compétences et les multiples connaissances qu’il apporte permettent aux docteurs de s’épanouir dans de nombreux domaines.

 Ce mois-ci, focus sur Vincent Bonhomme, chercheur et entrepreneur.

Bonjour Vincent, pourriez-vous brièvement nous décrire votre parcours ?
 J’ai obtenu mon doctorat en écologie évolutive à l’université de Montpellier 2 en 2010 puis je suis parti en Inde pour un post-doctorat à l’Institut Français de Pondichéry. Ces deux expériences ont été jalonnées de nombreuses expériences et de belles rencontres avec les beaux déclics qui viennent avec. Depuis, j’ai deux casquettes : la recherche et la vulgarisation scientifique.
 Je suis, d’un côté, chercheur freelance en écologie évolutive et, d’un autre côté, formateur en vulgarisation scientifique et analyses statistiques (www.vincentbonhomme.fr), éditeur et entrepreneur chez Oïké.coop.

En quoi consiste ces nouvelles activités ? Quelles sont vos principales missions ?
 Outre mes activités bénévoles de recherche, mon activité comporte essentiellement trois aspects :
1) des formations doctorales en vulgarisation et statistiques pour mon compte ;
2) la participation comme co-fondateur à une coopérative éditoriale en gestation : Oïké.coop, qui vise à créer un nouveau média pour l’appropriation des connaissances ;
3) de l’action, de l’édition et de la coordination bénévole au sein de ShakePeers, large initiative de vulgarisation écrite, libre et peer-reviewée.

Que vous apporte votre formation doctorale dans vos nouvelles missions ?
 Mon doctorat a été une double aventure humaine et scientifique, articulée, dans les grandes lignes, entre recherche fondamentale et vulgarisation scientifique.
 J’ai également fait beaucoup d’associatif durant cette thèse, au sein de Plume! et d’Animafac. Ma double compétence en écologie scientifique et vulgarisation scientifique me permet aujourd’hui d’avoir une carrière multi-facettes dans laquelle je m’épanouis.

Pourquoi avoir choisi cette double-casquette plutôt que de se concentrer uniquement sur la recherche ?
 On nous rabâche que nous sommes la génération qui se pose des questions ; je me sens donc assez peu habilité à donner des réponses sur des choix existentiels.
 Disons que pour moi, diffuser les connaissances existantes est le pendant de la production de connaissances nouvelles. Dans les circonstances officielles, je tiens le discours suivant : « Pour moi l’un nourrit l’autre : ma casquette de communication m’est directement utile pour mes recherches ; ma casquette recherche est directement utile à mes activités de vulgarisation ». Et c’est tout à fait vrai mais faire plusieurs choses à la fois est souvent synonyme, dans l’imaginaire collectif, de ne rien faire bien.
 A mon relatif regret et malgré des efforts de conditionnements internes et externes, mon cerveau refuse de se concentrer sur une tâche. Mais je trouve surtout rigolo de faire plusieurs choses à la fois et de raconter ce qu’il se passe dans les labos aux gamins et aux petits vieux.

La suite, vous la voyez comment ?
 Côté recherche, j’aimerais ne prendre que les bons côtés de la carrière de chercheur même si les rabat-joie - et sans doute aussi les pragmatiques - me rétorquent que je suis un doux rêveur. J’imagine passer des concours dans quelque temps.
 Côté vulgarisation, j’aimerais contribuer à faire pivoter l’opinion universitaire sur la vulgarisation : qu’elle fasse partie intégrante des parcours universitaires comme des avancements de carrière pour les chercheurs. Et qu’on s’y mette sérieusement au-delà des mots et des accords de principes. Ce serait un formidable gâchis si notre fonction devait se résumer à publication / innovation / reconnaissance des pairs / etc. Faisons émerger une exception française dont nous puissions être fiers : proposons une société de la connaissance, belle et humaine, en lieu et place d’une économie du savoir bête et méchante. Les plus chanceux des scientifiques sont fonctionnaires, donc ça ne coûte rien de vulgariser, il suffit de détourner un peu notre outil de production : un ordinateur et un cerveau. Pour autant, ça amènerait beaucoup, pour la société comme pour nous, qui pensons tous être de grands communicants.

 Etait-ce le projet professionnel que vous aviez envisagé durant votre thèse ?
 Plus ou moins. Voyons le bon côté des choses de la situation délicate de l’emploi pour les jeunes docteurs, que ce soit pour des carrières universitaires ou non : c’est l’occasion d’inventer de nouvelles trajectoires !

Catherine Morales et Jérôme Lacombe

retour au sommaire

FEMMES & SCIENCES
« Promouvoir les sciences et les techniques auprès des femmes,
promouvoir les femmes dans les sciences et les techniques »

 C'est en 2000, à l'initiative d'un groupe de femmes scientifiques de toutes disciplines et tous horizons que l'association Femmes & Sciences a été créée.

 Les principaux objectifs de Femmes & Sciences sont:
• Renforcer la position des femmes exerçant des professions scientifiques et techniques dans les secteurs public et privé,
• Promouvoir l’image des sciences chez les femmes et l’image des femmes dans les sciences,
• Inciter les jeunes, et en particulier les jeunes filles, à s’engager dans les carrières scientifiques et techniques.

 Quand on parle de la place des femmes dans les sciences, vient tout de suite à l’esprit la pionnière, la première femme à obtenir un Doctorat de Physique : Marie Curie, qui au début du XX^e siècle recevait le Prix Nobel de Physique pour ses travaux sur la radioactivité.
Cette femme eut à se battre, constamment, pour être reconnue à sa juste valeur. Qu’en est-il aujourd’hui ? Des questions surgissent : des places sont-elles accordées aux femmes dans les sciences, actuellement ? Les femmes sont-elles nombreuses et le sont-elles davantage à notre époque ? Dans quelles disciplines sont-elles plus nombreuses et pourquoi ? Quelles sont leurs motivations à choisir les domaines scientifiques ? Que fait-on pour lutter contre les stéréotypes que subissent les femmes et les jeunes filles dans leur orientation ? Et pour valoriser les carrières scientifiques et techniques ?

 Dans le but de valoriser la place des femmes dans les sciences et techniques, plusieurs actions sont lancées, tout au long de l'année, par Femmes & Sciences. 
 Cette association, qui bénéficie d’un agrément du ministère de l’éducation nationale au titre des associations éducatives complémentaires de l’enseignement public, s’engage à aider les femmes à se fédérer auprès de leurs disciplines scientifiques.
 Chaque année, en partenariat avec la mission pour la place des femmes au CNRS, Femmes & Sciences organise un colloque, qui permet de faire le point sur les avancées, en France et en Europe.
 De plus, Femmes & Sciences participe activement à divers comités régionaux, nationaux et européens, pour accroître la visibilité des femmes scientifiques.
 L’association mène également des actions internationales et elle conduit des interventions auprès des scolaires et du grand public.
 Femmes & Sciences participe à divers jury de prix scientifiques, comme le Prix Irène Joliot-Curie du ministère de l’enseignement supérieur et de la Recherche, le prix de la fondation d’entreprise eADs, ainsi que des prix de thèse.
 Sans oublier de nombreuses actions politiques envers les décideurs, pour s'élever contre les inégalités de salaire et de carrière, réclamer une plus grande représentation des femmes aux plus hauts postes et agir en faveur de la réussite éducative des jeunes.

 Pour rejoindre l’association Femmes & Sciences (formulaire d’adhésion disponible en ligne) ou participer à ses réseaux sociaux  
rendez-vous sur le site www.femmesetsciences.fr

 Domoina Ratovoson

retour au sommaire

700km de laine - 4001 pelotes - dans une église...
Carré Sainte-Anne - jusqu'au 17 novembre

 Ce n’est pas le dernier record du monde de l’écharpe la plus longue, non… c’est une œuvre d’art : After The Dream, créée toute spécialement pour le Carré Sainte-Anne par Chiharu Shiota, une japonaise de 41 ans.

 Accrochés aux piliers de l’église désacralisée, des fils de laine noire tissent une impressionnante toile qui enveloppe complètement l’espace et le visiteur. Au centre et en hauteur : 4 grandes robes blanches suspendues.
Et c’est tout ? Oui c’est tout.

 C’est un cocon. Un endroit où l’on aimerait se pelotonner. C’est une grande toile d’araignée (beurk !). C’est une "toile" au sens picturale du terme, quand les entrelacs de laine noire voilent, troublent, la lumière des vitraux. Quand cette lumière donne aux robes immaculées des allures de fantôme..
 Ne bougez pas ! Il y a quelqu’un ? Je suis où là ? Dans un grenier poussiéreux ? Un lieu hanté ? Je suis dans un château que personne n’a visité depuis 100 ans ? Celui de la Belle au bois dormant ?
 Ah non ! Je suis juste au centre-ville de Montpellier, dans un lieu d’exposition gratuit où 12 personnes ont été nécessaires, pendant 15 jours, pour aider l’artiste à tisser ce "machin" colossal et magique. Ce magnifique "coup de fil".

After the dream : jusqu’au 17 novembre au Carré Sainte-Anne
Visites guidées gratuites le jeudi à 16h et le dimanche à 11h, 14h30 et 16h !!!!

 Laurent Gallien

retour au sommaire

Le bistrot des ethnologues

 Les 1ers lundis du mois à 20h30 à LA LAITERIE (quartier des Beaux-Arts)

 L’ARCE (Atelier de Rencontres et de Recherches Comparatives en Ethnologie) propose pour la 20ème année consécutive son cycle de conférences-débat, Le Bistrot des ethnologues de Montpellier.
 Depuis 1993, un lundi par mois dans le cadre chaleureux et convivial d’un café resto, un chercheur reconnu des sciences humaines et sociales vient présenter sa recherche à l’occasion d’une publication récente. Il expose son propos, sa méthode, son expérience du Terrain, sa réflexion sur la discipline, dans un langage adapté à un public de non-spécialistes. C’est le principe du Bistrot des Ethnologues.

 Programme des prochaines rencontres :

Lundi 4 novembre : Michel AGIER, ethnologue et anthropologue, Directeur de recherche à l’IRD et Directeur d’études à l’EHESS, Le piège identitaire

Lundi 2 décembre : Mathieu TRACHMAN, Docteur en Sociologie, Chercheur à l’IRIS EHESS, Ethnographie des métiers de la pornographie

 Retrouvez Le Bistrot des ethnologues en direct sur www.ethnobistro.fr

retour au sommaire

Équipe de rédaction Novembre 2013 : Anne-Claire Bougnoux, Barbara Maret, Laurent Gallien, Aurélien de La Torre, Vuthy Ea, Jérôme Lacombe, Catherine Morales, Domoina Ratovoson, Pascale Climent-Delteil.
Crédits photos : Journées Méditerranéennes des Jeunes Chercheurs : Aurélien de La Torre. 
Quoi d'Neuf Doc' ? est une publication de l'association Contact, distribuée à tous les doctorants de Montpellier par voie électronique. Ce journal est réalisé par des membres de l'association Contact, qui sont des doctorants et docteurs s'investissant bénévolement tout au long de l'année.
Tout doctorant ou ancien doctorant des écoles doctorales de l'Académie de Montpellier est membre de droit de l'association .
ASSOCIATION CONTACT
Université Montpellier 2 – Boîte11 Place E. Bataillon – Bâtiment 13. Tél. : 04 67 14 48 16 – Site : www.contact.asso.fr
Permanences : 9h-17h à l'UM2, bât 13, 3e étage - Réunions : un jeudi sur deux de 12h30 à 13h30